Dans cette section, vous pouvez trouver de nouveaux matériaux qui ont été publiés sur le thème de « Interactions terres-eau-énergie », depuis la date de l’événement. Nous sélectionnons continuellement de nouvelles publications et articles en lien aux points stratégiques abordés lors du briefing.

Au Nigeria, BUA group s’associe à l’israélien Netafim pour l’irrigation de son projet sucrier
http://www.commodafrica.com; 20/08/2019

Le conglomérat nigérian BUA Group, société mère de la raffinerie BUA Sugar Refinery Limited, et la firme israélienne leader dans l’irrigation de précision Netafim Corporate ont signé un accord pour le développement d’un projet d’irrigation entièrement automatisé pour la canne à sucre. En vertu de cet accord, les deux entreprises collaboreront pour développer ce qu’elles qualifient de «  » » dans la plantation de sucre BUA Lasuco de 20 000 hectares situé à Lafiagi dans l’Etat de Kwara et disposant aussi d’une raffinerie de sucre et d’une usine d’éthanol. Le groupe a indiqué que la plantation de canne à sucre devrait produire environ 1,5 million de tonnes de sucre brut par an et produire 25 millions de litres d’éthanol ainsi que 35 mégawatts d’électricité.

Agriculture : L’irrigation pour valoriser le potentiel agricole
http://www.union.sonapresse.com; 08/08/2019

La salle de réunion du Bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique centrale, a prêté son cadre récemment aux travaux du Groupe thématique consacré au  » rôle de l’irrigation dans le développement agricole du Gabon ». Le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, de l’Élevage, de la Pêche et de l’Alimentation, Mesmin Ndong Biyo’o, en présidant ladite rencontre, a réitéré l’engagement du gouvernement d’augmenter la production agricole en tenant compte du rôle de l’irrigation dans le développement agricole.  » Au Gabon, l’agriculture occupe une place importante dans la diversification économique. La valorisation de son potentiel agricole nécessite une augmentation de la productivité en vue de garantir la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Cette augmentation ne saurait se faire sans le développement des filières productives et compétitives », a-t-il précisé.

Sénégal : la BAD soutient un projet de « valorisation des eaux » pour le développement des chaînes de valeur agricoles avec plus de 60 millions d’euros
Banque africaine de développement; 19/07/2019

Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a approuvé, ce mercredi à Abidjan, un prêt de 87,6 millions d’euros au Gouvernement du Sénégal, afin de mettre en œuvre son Projet de valorisation des eaux pour le développement des chaînes de valeur (PROVALE-CV). Le prêt sera cofinancé par la Banque à hauteur de 60,8 millions d’euros (pour un projet dont le coût total est estimé à 122 millions d’euros) et par le fonds chinois « African Growing Together Fund – AGTF » pour un montant de 26,8 millions d’euros. Le projet est également cofinancé par le Fonds de l’OPEP pour le développement international (OFID) et le Fonds international de développement agricole (FIDA). Élaboré avec l’appui de la Banque, PROVALE-CV est le premier projet du Programme national de développement de la petite irrigation locale (PNDIL) au Sénégal. Il intervient dans trois zones agro-écologiques du pays : les Niayes, le bassin arachidier et la Casamance, et concerne huit régions administratives : Kaolack, Fatick, Kaffrine, Diourbel, Thiès, Ziguinchor, Sédhiou et Kolda.