Selon Karin Ulmer, représentante de Concord, le véritable défi est celui de tirer profit des leçons du passé et de programmer de nouveaux mécanismes d’aide au commerce appropriés.

Selon elle, trois leçons en particulier doivent être retenues. En premier lieu, le processus de décision est crucial et l’importance de la titularisation des programmes d’aide de la part des bénéficiaires ne peut être négligée. Il est par conséquent nécessaire de créer des opportunités et des mécanismes afin de développer le rôle d’appropriation des pays. De plus, l’aide au commerce doit disposer de liens appropriés pour favoriser des relations commerciales selon une approche plus intégrée.

En second lieu, il n’existe pas une unique réponse adéquate. Chaque situation, chaque pays ou région connaît ses propres spécificités et exigences. Le débat sur l‘aide au commerce doit en tenir compte afin d’éviter de répéter des solutions standards qui n’auraient pas la même valeur dans des contextes différents.

En troisième lieu, il est important de se souvenir que “le partenariat est une voie qui se parcourt à deux.” Les donateurs doivent se comporter de façon responsable face aux bénéficiaires et les accords commerciaux destinés à aider les pays en voie de développement dans le contexte d’une économie globale doivent “passer de main en main fournissant l’aide et les capacités à ces pays.”

(video en anglais)

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